« Le livre perdu de Léonard De Vinci » de Francesco Fioretti

Éditions Hervé Chopin HC Éditions – Sortie le 11 Avril – 255 pages

Synopsis :

le livre perdu de leonard de vinciFrancesco Fioretti nous guide à travers les années les plus prolifiques et intrigantes de la vie de Léonard de Vinci nous plongeant une nouvelle fois dans une atmosphère riche de mystère.

Milan, 1496. Léonard de Vinci attend avec impatience de rencontrer le frère Luca Pacioli, célèbre mathématicien dont il espère apprendre beaucoup. Pour Léonard, qui s’intéresse depuis toujours
à toutes les formes du savoir, les mathématiques, dont l’étude ne lui a pas été possible, représentent
la science souveraine. Mais suite à l’assassinat d’un moine et au vol d’anciens textes byzantins qui sont d’un intérêt inestimable pour les mathématiques, les deux hommes voient leurs projets perturbés. De Milan à Venise, de Florence à Urbino, à travers une Italie où s’achève l’époque pacifique de Laurent de Médicis et des Sforza, ils se lancent sur les traces de l’assassin et des textes volés.

 

Mon avis :

J’ai abandonné la lecture au milieu du roman. Pour un livre qui fait 255 pages, je dois dire que ça a été assez laborieux d’arriver jusque là pourtant. Mon avis ne se fera donc que sur les 120 premières pages et je ne peux donc pas juger le roman dans son intégralité.

J’ai commencé le roman en étant hyper emballée. Le chapitre « avant de commencer », qui précède le prologue m’a complètement réjouie. Ça parlait de Mathématiques, de Rubik’s cube, de l’homme de Vitruve, de Divine proportion… Pile ce que j’aime. Je me suis dit qu’on allait se retrouver dans une énigme mathématique, qu’on parlerait du livre perdu, qu’il y aurait une sorte de quête, des choses à décoder. Et en fait, rien de tout ça… Autant vous dire que j’ai été déçue !

Nous suivons Léonard de Vinci, auquel on ne s’attache pas du tout, dans sa vie quotidienne… ennuyeuse…
Il a reçu une commande pour peindre la Cène. Mais il ne peut pas car on le coupe sans cesse pour lui demander de petits travaux et d’autres portraits. Voilà comment résumer les 120 premières pages. On a aussi le droit à quelques chapitres mathématiques, qui bien qu’intéressants, sont insérés de façon hyper complexe et du coup ont plus pour effet de perdre le lecteur, de lui donner l’impression que l’auteur a voulu impressionner mais sans donner d’explications.

J’ai donc fini par lâcher l’affaire. J’ai aimé les premiers chapitres, m’attendant à une mise en place en vue d’un truc plus accrocheur par la suite, mais même pas. Juste de l’ennui, rien ne bouge.

Nous étions quatre chroniqueuses à l’avoir lu en LC. 3 ont abandonné, une seule a été au bout. Peut être que cela le fera avec vous, mais ça ne l’a pas fait avec moi.

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Une réflexion sur “« Le livre perdu de Léonard De Vinci » de Francesco Fioretti

  1. J’ai failli craquer après avoir mis en pause un autre roman sur Léonard de Vinci trop touffu. Du coup, je pense passer mon tour même si je ne désespère pas de trouver un livre passionnant et accessible sur ce génie…

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